Le comédien Marcel Philippot, star de la série « Palace », est mort
Comédien de théâtre, de cinéma et de télévision, formé au Conservatoire de Paris, il a joué des dizaines de seconds rôles.
Le comédien Marcel Philippot, connu pour son rôle de client mécontent dans la série des années 1980 « Palace », repris des années après dans des publicités pour une société d’assurance, est mort vendredi à 64 ans. Marcel Philippot a été retrouvé mort à son domicile parisien, a annoncé son agent, Jean-Pierre Noël, samedi 3 mars.
Comédien de théâtre, de cinéma et de télévision, formé au Conservatoire de Paris, il a joué des dizaines de seconds rôles, notamment dans des comédies comme Brèves de comptoir (pièce et film), Le Schpountz ou la série télé « Kaamelott ». Il était membre de l’émission le « Petit théâtre de Bouvard » dans les années 1980.
Il a principalement tourné avec Jean-Michel Ribes, créateur de la série humoristique « Palace », diffusée sur Canal+ et la Deux à la fin des années 1980, où sa réplique « Je l’aurai, un jour, je l’aurai » est devenue culte pour toute une génération de téléspectateurs.
Hommages
« Marcel Philippot était un être rare, avec beaucoup de délicatesse et de finesse, au-delà de sa fantaisie parfois burlesque. C’était un grand comédien, très élégant. Il va beaucoup nous manquer », a déclaré M. Ribes, dramaturge et directeur du théâtre du Rond-Point.
Marcel Philippot travaillait ces derniers mois sur un projet de pièce porté par le comédien et metteur en scène Arnaud Denis, pour qui il avait déjà joué au théâtre de la Huchette en 2016 (« Le personnage désincarné »).
« Tu étais un “comédien britannique français”. Fin, subtil, exigeant, redoutable et incisif. Et surtout si drôle. Même lorsque tu étais triste tu faisais rire les autres. C’était ton premier plaisir. Donner de la joie aux autres. Cette joie qui t’avait fait faux bond, quelque part dans le tourbillon incohérent de l’existence », a salué Arnaud Denis dans un message publié sur son compte Facebook.
« Nous avons commis l’erreur de te cantonner, les uns et les autres, dans un certain répertoire, dans un certain emploi. C’est notre tragédie de manquer d’imagination, nous qui nous prévalons de servir l’imaginaire », a regretté le comédien.
Le comédien Marcel Philippot, connu pour son rôle de client mécontent dans la série des années 1980 « Palace », repris des années après dans des publicités pour une société d’assurance, est mort vendredi à 64 ans. Marcel Philippot a été retrouvé mort à son domicile parisien, a annoncé son agent, Jean-Pierre Noël, samedi 3 mars.
Comédien de théâtre, de cinéma et de télévision, formé au Conservatoire de Paris, il a joué des dizaines de seconds rôles, notamment dans des comédies comme Brèves de comptoir (pièce et film), Le Schpountz ou la série télé « Kaamelott ». Il était membre de l’émission le « Petit théâtre de Bouvard » dans les années 1980.
Il a principalement tourné avec Jean-Michel Ribes, créateur de la série humoristique « Palace », diffusée sur Canal+ et la Deux à la fin des années 1980, où sa réplique « Je l’aurai, un jour, je l’aurai » est devenue culte pour toute une génération de téléspectateurs.
« Marcel Philippot était un être rare, avec beaucoup de délicatesse et de finesse, au-delà de sa fantaisie parfois burlesque. C’était un grand comédien, très élégant. Il va beaucoup nous manquer », a déclaré M. Ribes, dramaturge et directeur du théâtre du Rond-Point.
Marcel Philippot travaillait ces derniers mois sur un projet de pièce porté par le comédien et metteur en scène Arnaud Denis, pour qui il avait déjà joué au théâtre de la Huchette en 2016 (« Le personnage désincarné »).
« Tu étais un “comédien britannique français”. Fin, subtil, exigeant, redoutable et incisif. Et surtout si drôle. Même lorsque tu étais triste tu faisais rire les autres. C’était ton premier plaisir. Donner de la joie aux autres. Cette joie qui t’avait fait faux bond, quelque part dans le tourbillon incohérent de l’existence », a salué Arnaud Denis dans un message publié sur son compte Facebook.
« Nous avons commis l’erreur de te cantonner, les uns et les autres, dans un certain répertoire, dans un certain emploi. C’est notre tragédie de manquer d’imagination, nous qui nous prévalons de servir l’imaginaire », a regretté le comédien.