Lio aide les gendarmes à résoudre une enquête sur un trafic de disques contrefaits
Un trafiquant de CD contrefaits, qu'il revendait à l'étranger sans payer les droits d'auteurs, vient d'être arrêté par les gendarmes après une enquête menée grâce à Lio. La chanteuse avait déposée plainte pour contrefaçon.
Qu'on se le dise : Lio ne compte pas pour des prunes. La chanteuse de 55 ans, connue pour son caractère bien trempé, a permis la dissolution d'un trafic organisé autour de sa discographie. Un homme habitant le village de Sauve dans le Gard, à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest de Nîmes, vient d'être interpellé par la gendarmerie après que l'interprète de "Banana Split" a déposé plainte pour contrefaçon. Une enquête approfondie menée par les gendarmes de Quissac, avec l'aide de deux enquêteurs de la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique), a permis la saisie de plus de 4.000 CDs contrefaits.
L'homme à l'origine du méfait a reconnu avoir revendu illégalement de faux albums de Lio, qu'ils faisaient passer à l'étranger sans verser de droits d'auteurs. Un préjudice estimé à hauteur de 6.000 euros. Sur place, les forces de police ont découvert un volume de deux mètres cubes de cartons renfermant les disques manufacturés. Plusieurs photos du "butin" déniché ont été partagées sur la page Facebook de la gendarmerie du Gard. L'enquête se poursuit désormais pour déterminer depuis quand ce trafic a-t-il été mis en place et combien de marchandises ont pu être écoulés dans les pays frontaliers. L'histoire ne dit pas si le malfaiteur était un admirateur ni comment la chanteuse a été mise au parfum de cette affaire de recel.
Qu'on se le dise : Lio ne compte pas pour des prunes. La chanteuse de 55 ans, connue pour son caractère bien trempé, a permis la dissolution d'un trafic organisé autour de sa discographie. Un homme habitant le village de Sauve dans le Gard, à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest de Nîmes, vient d'être interpellé par la gendarmerie après que l'interprète de "Banana Split" a déposé plainte pour contrefaçon. Une enquête approfondie menée par les gendarmes de Quissac, avec l'aide de deux enquêteurs de la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique), a permis la saisie de plus de 4.000 CDs contrefaits.
Plus de 6.000 euros de butin
L'homme à l'origine du méfait a reconnu avoir revendu illégalement de faux albums de Lio, qu'ils faisaient passer à l'étranger sans verser de droits d'auteurs. Un préjudice estimé à hauteur de 6.000 euros. Sur place, les forces de police ont découvert un volume de deux mètres cubes de cartons renfermant les disques manufacturés. Plusieurs photos du "butin" déniché ont été partagées sur la page Facebook de la gendarmerie du Gard. L'enquête se poursuit désormais pour déterminer depuis quand ce trafic a-t-il été mis en place et combien de marchandises ont pu être écoulés dans les pays frontaliers. L'histoire ne dit pas si le malfaiteur était un admirateur ni comment la chanteuse a été mise au parfum de cette affaire de recel.